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Le soutien de l’activité

Mise à jour  : 01/08/2017

L’activité du contrôle général des armées est coordonnée par un secrétaire général qui dispose d’un département d’appui aux activités composé d’un bureau « méthodes et aide au pilotage » et d’un bureau du management de l’information et d’un bureau des systèmes de l’information et de communication.

Le bureau des méthodes et de l’aide au pilotage (BMAP)

Le bureau des méthodes et de l’aide au pilotage est chargé de fournir au personnel du CGA les méthodes et les modèles de document nécessaires à l’exercice de ses missions ainsi que de rassembler et de mettre à la disposition du chef du CGA les données lui permettant de piloter l’activité du Contrôle.

Il anime le chantier de description des processus, le travail de mise à jour du guide des pratiques et assure la mise à jour et la diffusion des modèles, notamment ceux liés à la production des rapports de contrôle.

Au titre du pilotage, le BMAP assure, d’une part, le suivi des missions confiées au contrôle général des armées depuis la lettre de mission jusqu’au versement de l’ensemble de la production du Contrôle dans la base de connaissances Spinoza. Il est également responsable de la mise en œuvre de la procédure de suivi annuel des recommandations majeures des rapports du CGA et de la mise à disposition des lecteurs de la version papier des rapports d’enquête, sur demande.

Enfin, il propose au chef du CGA un tableau de bord couvrant l’ensemble de l’activité du contrôle général des armées.

Le bureau du management de l’information (BMI)

Le bureau du management de l’information est responsable du cycle de vie de l’information collective au sein du contrôle général des armées. Il assure la réception ou la captation de l’information, son analyse et son traitement, sa diffusion et sa mise à disposition, son stockage puis son archivage ou son élimination. Il assiste par ailleurs le personnel du CGA dans le traitement de la documentation collectée au cours de ses travaux.

Le BMI se compose du centre documentaire du contrôle, de la cellule Courrier et de la section Archives – dématérialisation.

Le soutien général

Le soutien courant du CGA est assuré par le département du soutien général et le bureau des ressources humaines (BRH)  placés sous la responsabilité de l’adjoint au chef du contrôle général des armées.

Le département de soutien général (DSG) est chargé des travaux de construction budgétaire et de pilotage relatifs au fonctionnement courant, des démarches d’achat, du soutien matériel du personnel et des questions de soutien de l’homme du personnel militaire du CGA, contrôleur et collaborateur.

Le bureau ressources humaines (BRH) est composé  de deux sections, l’une spécifiquement chargée de gérer le corps militaire des contrôleurs des  armées  et de piloter tous les travaux juridiques relatifs au statut, à l’avancement et à la carrière des membres du corps de contrôle ; l’autre dédiée à la gestion de proximité des personnels civils et militaires employés au sein du CGA ainsi qu’au traitement et au suivi des ordres de mission de tout le personnel.

Les collaborateurs du contrôle général des armées

Le contrôle général des armées ne saurait remplir ses missions sans la présence du personnel civil et militaire en son sein. Ces agents présentent un éventail quasi complet des statuts, grades et expériences que l'on peut trouver au sein du ministère des armées. Les compétences que tous apportent au fonctionnement du CGA sont variées et permettent tant son administration quotidienne que l'appui technique aux contrôleurs.

Officier spécialiste des marchés publics, ingénieur expert en contrôle des systèmes d'information, secrétaires civiles et militaires, agent contractuel spécialiste en audit comptable, ingénieur de l'armement, inspecteur des installations classées, médecin général chargé de la médecine de prévention…

Cette richesse humaine est un atout considérable pour une structure relativement légère qui doit veiller en permanence à garder la connaissance la plus complète et la plus fine du ministère dans toute sa complexité et son évolutivité.


Sources : CGA/Com