Responsable du secteur "mise en œuvre de la lutte sous-marine" à bord de la frégateJean de Vienne
C’est à la suite d’un passage par le bureau d’information sur les carrières de la Marine, à l’âge de 24 ans, que le premier maître Cristina débute sa carrière au sein de la Marine nationale, d’après lui, «pour le côté atypique du métier et la diversité des spécialités».
Il effectue son premier embarquement comme équipier avec pour objectif «d’occuper plus tard un poste à responsabilités». C’est donc loin de sa famille que ce bisontin d’origine évolue dans la Marine, en devenant chef d’équipe, puis rapidement chef de secteur grâce aux formations dispensées par le Centre d’instruction Naval de Saint-Mandrier.
Au cours de sa carrière, la Marine lui a apporté «la possibilité de voyager, de découvrir de nouveaux pays et de nouvelles cultures». Le premier maître a essentiellement navigué sur des frégates anti-sous-marines du fait de sa spécialité liée à la lutte sous la mer.
Actuellement responsable du secteur "mise en œuvre de la lutte sous-marine" à bord de la frégate Jean de Vienne, il doit organiser et planifier le travail de son équipe et être à l’écoute de ses adjoints. Ce n’est toutefois pas sa seule responsabilité, «je dois aussi assurer l’entretien du matériel, et j’apporte également mon avis d’expert hydraulique à bord».
Affecté aujourd’hui à Toulon, il a un peu pris ses distances avec la ville qui l’a vu grandir. Pour autant, il ne cache pas qu’il «y pense souvent. J’en discute même en famille en évoquant mon enfance et mon adolescence».
Sources : © Marine nationale
Droits : Ministère des armées