Le quartier Jeanne d’Arc a été construit à partir de 1908 par les Allemands sur les glacis des anciennes fortifications Vauban, situés à l’origine à la périphérie de la ville de Thionville. C’est à l’issue de la première guerre mondiale et de l’engouement renouvelé pour Jeanne d’Arc (béatifiée en 1909, sanctifiée en 1920), que le quartier prend son nom.
Sa devise originelle, « Qui me regarde s’incline », a été supprimée en 1979 à la demande du chef de corps de l'époque et des cadres qui la jugeaient « d'une prétention ridicule ». Elle faisait pourtant simplement référence aux Lions de la porte de la Citadelle de Neustadt, plusieurs fois assiégée mais jamais prise. Le régiment récupère sa devise en 2002 lors de la dernière homologation et elle est depuis portée sans ostentation par les transmetteurs du régiment.
Deux personnalités attachées à la Moselle ont répondu à l’invitation de parrainage du 40e RT.
• Stéphane Bern est le célèbre présentateur de l’émission Secrets d’histoire. Outre son attachement au département de la Moselle, Stéphane Bern a des liens familiaux et d’affection pour le Grand-Duché du Luxembourg avec qui le 40e RT entretient des relations privilégiées notamment au travers de son partenariat avec l’armée luxembourgeoise.
• La journaliste Carole Gaessler est la présentatrice du 19/20 sur France 3 et de l’émission Des racines et des ailes. Elle est native de la ville voisine d’Hettange-Grande où est implanté le second quartier du régiment.
Une rue en l’honneur du 40e RT a été inaugurée le 17 juin 2009 à Terville (57180), commune jumelée avec la 3e compagnie de l’unité. Toutes les compagnies du régiment sont en effet jumelées avec des communes de Moselle (Elzange, Roussy-le-Village, Rodemack, Yutz, Kœnigsmacker, Cattenom).
Depuis deux ans, le 40e RT mobilise plus de 500 transmetteurs autour d’un événement sportif dont la finalité est de soutenir les blessés de l’armée de Terre. Cette journée reflète la considération portée par l’arme des transmissions à tous ceux qui, au service de la France, ont été marqués dans leur chair et dans leur tête, ainsi qu’à leurs familles. Au-delà de la simple expression de solidarité du régiment, l’objectif est de faire partager cet élan avec le plus grand nombre de concitoyens lorrains. L'an dernier, 2 840 euros ont été récoltés en faveur des blessés.
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