Avant de se déployer dans une zone rocheuse escarpée, les stagiaires sont briefés par un gendarme-secouriste...
Pendant qu’une partie du détachement effectue les premiers soins à un militaire blessé qui,...
Une fois le matelas coquille prêt, les auxiliaires-sanitaires se dirigent vers le blessé afin...
Une fois le blessé immobilisé, et avant son évacuation à pied, l’instructeur (un gendarme-secouriste...
La partie la plus technique de la formation se joue ici, avec l’évacuation à pied et encordée...
Dans l’après-midi, c’est au tour de la seconde partie du détachement d’entrer en action. Un...
La victime est installée dans une unité de transport « UT 2000 » transformée en brancard.Ainsi...
Une fois la victime pré-médicalisée, le reste du détachement la transporte à travers les blocs...
En soirée, nouvel exercice pour le détachement. Pour se mettre en jambe, une ascension vertigineuse...
…mais c’est sans compter sur le scénario imaginé par les instructeurs. Quelques dizaines de...
Une fois descendue à l’aide de diverses manipulations de cordes, la victime est placée sur un...
La victime bien sanglée dans l’UT 2000 est ensuite descendue à bout de bras par les militaires...
Le dernier jour de la formation, les stagiaires ont été hélitreuillés par l’hélicoptère « Choucas...
Depuis cinq ans, le 4ème Régiment de Chasseurs, le Centre médical des armées (CMA) de Gap et le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM) de Briançon organisent une formation d'adaptation destinée aux auxiliaires-sanitaires et aux personnels médicaux des Troupes de montagne. Pour la deuxième année consécutive, un groupe d'Alpini italiens (l'équivalent de nos chasseurs alpins) se sont joints à l'exercice. Objectif : mieux appréhender les techniques de secours en montagne, applicables aussi bien aux détachements sur le territoire national qu'en opérations extérieures.
Source : Ministère des Armées
