Après avoir obtenu l’accord du ministre de la Guerre sur son projet, le général Joffre, chef d’état-major général, reçoit au début du mois de mars le soutien unanime du CSG. Le dossier est officiellement présenté devant la Chambre des députés, où les débats commencent en juin. L’opposition politique au parlement, dans la presse et dans le pays se cristallise aussitôt sur cette question qui divise « troisannistes » et « antitroisannistes ».
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