À l’annonce de l’agression nord-coréenne le 25 juin 1950, la France, membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, tarde à répondre favorablement à la demande du Secrétaire général de fournir des troupes pour aider la Corée du Sud. Toutefois, la détérioration de la situation et la crainte de rester à l’écart des négociations l’incite à réviser sa politique malgré son engagement en Indochine.
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