CIRFA et réservistes citoyens à la rencontre des métiers de la BA 942

L’Armée de l’air recrute et forme chaque année plus de 3 000 personnes dans plus de 50 métiers valorisants et reconnus, quel que soit le niveau de formation. Mais certaines spécialités restent déficitaires en candidatures.

Pour les personnels des centres d’information et de recrutement des forces armées (Cirfa), experts en recrutement, l’objectif de la visite était de mieux appréhender les besoins et les spécificités de ces spécialités en allant à la rencontre des militaires dans leur environnement de travail.

Les réservistes citoyens, de leur côté, sont des relais de communication indispensables entre l’Armée de l’air et la société civile. Une bonne connaissance des spécialités en sous-effectif leur permet de diffuser des messages de recrutement pertinents dans leurs réseaux professionnels ou associatifs respectifs.

Officiers, sous-officiers et militaires techniciens de l’air ont ainsi témoigné tour à tour, présentant leurs missions quotidiennes, les qualités requises par leurs métiers, leurs formations et les attentes de leurs unités en matière de recrutement. 

Parmi les spécialités de l’Armée de l’air qui recrutent, plusieurs sont représentées sur la base aérienne 942 Lyon-Mont Verdun :

-      Pompier de l’air ;

-      Officier / exploitant renseignement ;

-      Intercepteur technique ;

-      Contrôleur des opérations aériennes ;

-      Opérateur de surveillance aérienne ;

-      Météorologiste ;

-      Equipier fusilier parachutiste de l’air ;

-      Equipier maître-chien de l’air ;

-      Technicien CNS (Communication Navigation et Surveillance) ;

-      Concepteur et manager des systèmes d’information ;

-      Agent électrotechnicien opérationnel des infrastructures aéronautiques.

La journée a été riche en échanges, permettant aux réservistes citoyens et aux recruteurs des Cirfa d’acquérir de précieuses informations sur des métiers parfois méconnus (renseignement, systèmes d’information et de communication, infrastructures, notamment) et  aux représentants de ces spécialités de connaître les difficultés rencontrées par les recruteurs.